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Je suis terre-à-terre, amusant, amical. -LadyB11

Je suis terre-à-terre, amusant, amical. -LadyB11

Bonjour à tous, je m’appelle LadyB11. Je choisis de garder mon vrai nom secret pour protéger ma vie privée. J’adore mon nom Pantydeal et j’ai en fait un ami proche qui ne m’appelle que « B », donc c’est approprié. Je décrirais ma personnalité comme terrestre, amusant, amical, maladroit, un peu timide parfois, mais certainement capable d’égayer une pièce.

DameB11

PD : Depuis combien de temps vendez-vous des culottes ?

Je vends des culottes depuis septembre de l’année dernière. Certainement pas très long du tout. Il y avait beaucoup à apprendre très rapidement si je voulais réussir dans ma nouvelle entreprise.

PD : Utilisez-vous la vente de culottes pour votre vie sexuelle ?

Ce n’était certainement pas le plan au début de mon entreprise de vente. Mais peu de temps après, il était facile de voir qu’avoir des acheteurs ravis de recevoir mes articles portés ou des images m’ont fait du bien. Sentez-vous sexy. Quelque chose que j’oublie facilement dans mes activités quotidiennes.

PD : Êtes-vous en couple ? Si oui : partagez-vous cette pratique avec votre partenaire ?

Je suis en couple en fait. Mon partenaire n’a aucune idée que je fais ça non plus! C’est un secret complet. D’une certaine manière, j’aimerais pouvoir m’en débarrasser et lui dire, mais je pense que garder cela pour moi me permet d’être plus libre dans les discussions et les interactions avec les acheteurs.

DameB11

PD : Comment avez-vous découvert que vendre des culottes était quelque chose qui existait ? Et à propos de Pantydeal ?

Cela peut surprendre, mais j’ai appris la vente de culottes (et plus précisément Pantydeal) dans un groupe Facebook de maman Je suis dedans! Un message demandait à d’autres femmes où elle pouvait aller vendre sa lingerie et ses jouets. Au début, je pensais qu’il n’y avait aucun moyen qu’elle pose vraiment cette question. Mais avant que je m’en rende compte, il y avait un mélange de réponses allant de « c’est dégoûtant » à « craigslist » et « Pantydeal ». Alors naturellement, j’ai dû voir par moi-même!

PD : Quelle a été la première chose à laquelle vous avez pensé ?

Ma première pensée a été que des hommes achètent des sous-vêtements féminins ? ! Et ma prochaine pensée immédiate était que je devais faire partie de cela. Si d’autres femmes peuvent vendre leurs articles portés, pourquoi pas moi ?

PD : Parlez-vous de votre activité de vente de culottes à votre famille ou à vos amis ?

C’est un non catégorique. Personne dans ma vie n’est au courant de çaet j’aime ça comme ça… parfois. C’est tellement difficile de garder des secrets !

DameB11

PD : Quelle est la chose la plus amusante qui vous soit arrivée lorsque vous avez parlé avec un client ?

J’essaie tellement d’accorder toute mon attention à mes clients lorsque je leur parle. Mais il y a des moments où je suis épuisé ou multitâche que je mets le pied dans la bouche. J’ai dit à un acheteur « bon vendredi ! » Et il a répondu ‘euh c’est jeudi ?’ C’était définitivement le cas, et j’avais l’impression de pouvoir ramper sous un rocher!

PD : De nombreux vendeurs disent qu’ils finissent souvent par agir comme des amis ou des auditeurs pour les acheteurs, car beaucoup d’entre eux trouvent un lien réel avec le vendeur. Quelle est votre expérience avec cela?

Je serais d’accord avec cette déclaration pour certains acheteurs. Ils apprécient l’interaction d’avant en arrièreapprendre à vous connaître et vice versa, et finalement se sentir à l’aise avec vous. Certaines personnes se sentent seules et ont hâte de discuter avec le temps. Certains de mes acheteurs deviennent très connectés avec moi, cela brouille certaines lignes d’un vendeur/acheteur, d’amis, plus ? Mais peu importe, j’apprécie les hommes qui reviennent continuellement vers moi pour ma culotte et ma compagnie.

DameB11

PD : Combien de temps pensez-vous continuer à vendre vos culottes ?

Tant que le monde de la vente de culottes m’aura. J’ai beaucoup apprécié jusqu’à présent même si ce n’est certainement pas facile! Cela demande un travail acharné, de la publicité, des engagements de temps, beaucoup de discussions et une touche de patience.

PD : Y a-t-il une raison pour laquelle vous envisageriez d’arrêter de vendre vos culottes ?

Quand ça cesse d’être amusant ou que ça m’empêche d’être une mère attentive alors qu’avec ma famille, il y a probablement deux bonnes lignes dans le sable qu’il est temps d’arrêter.

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